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| Le vendredi soir, je suis retourné chez moi sous forme d'oiseau. Mes enfants étaient assis sous l'arbre sur lequel j'étais perché. "Notre père avait planté cet arbre fruitier et nous en profitons de ses fruits. Qu'Allah le bénisse" L'un d'eux ayant rappelé ce fait, ils ont ensuite récité le souré Dokhàn et le souré Dahr. Leurs prières m'ont rendu heureux et j'ai prié aussi pour eux, et puis je suis retourné à ma demeure. |
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| Quand je suis revenu, mon cheval était prêt. Hàdi m'a présenté deux cadeaux. L'un était de la part de Hazrat Fatema Zehrà (as) et l'autre de Hazrat Ali (as) car les deux sourates récités par mes enfants avaient un rapport avec eux. "Au moment nécessaire, les deux cadeaux s'ouvriront par eux-mêmes", me dit Hàdi. |
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| Après un moment, nous avons atteint le terre des avidités et avarices. Là, nous avons vu des gens ayant des visages ressemblant à des chiens et qui se battaient entre eux. Certains mangeaient des cadavres et du feu s'échappait de leurs derrières. Hàdi m'a informé,"Ces gens se corrompaient ou détournaient ou volaient les biens des orphelins". |
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| Puis nous sommes entrés dans le terre de la Jalousie. J'ai vu des robots comme des Géants nous approchant. Soudain Abou Lahaw apparaît. Mon cheval s'effraye et s'enfuit à sa vue, me jetant par terre. Abou Lahaw a émis des rires perçants, "O, idiot, nomme moi un savant qui n'est pas jaloux. Tu ne t'en sortiras jamais de ce piège que j'ai mis !" |
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| J'étais furieux et commença à me battre contre lui, mais il était plus fort et me surpassait. J'ai crié à l'aide "Ya Ali Madad !" |
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